CA BALANCE... GRAVE !

Laurent, arrête ton char...

Non seulement tu t’embrouilles avec tout le monde dans le milieu mais en plus tu persistes avec ta musique chiante à mourir.
http://laurentcoq.com/extraits/ShadesOfTrees.html
Et en plus, tu connais rien à Internet :
http://www.mediapart.fr/club/blog/laurent-coq/140809/de-la-gratuité-encore
Mon conseil : change de job ; ta (petite) plume pourrait peut-être te servir. Et oui : joue au loto !
Ah, oui...
Signé :
« Le puceau du jazz » :-)

Comme les autres

Aujourd’hui je viens de voir le film Comme les autres avec Lambert Wilson et Pascal Elbe entre autres.
En gros, une accumulation de clichés tous plus éculés les uns que les autres. Des scènes collées les unes aux autres sans aucun fil directeur (si ce n’est le pitch : un homo qui veut à tout prix avoir un enfant), aucune mise en scène, aucune vision, aucun message, rien. Pas la moindre trace de scénario, des dialogues convenus, des personnages caricaturés à l’extrême, et un Lambert Wilson qui en fait des tonnes en « sauvant » (vaguement) les meubles. (En fait, heureusement...)
En un mot : lénifiant. Artistiquement parlant, un navet, un film de série B.
Un film de cinéma français, comme les autres.
Mais d’un point de vue financier, un film qui aura coûté de l’argent. Comme les autres.
Une idée me vient alors : je regarde les informations du film sur Allociné.fr. Surprise, dans les « secrets du tournage », je lis : « Genèse du projet ». Ah !? Un projet ? Quelque chose d’ambitieux ? Oui, apparament. Le film d’une vie, germant pendant dix ans dans l’inconscient du « réalisateur », qui, « surpris par [...] une situation » [celle d’un ami ... blablabla] décide d’en faire une fiction de vingt pages puis grâce à un « déclic » et un « producteur » (sans doute opportuniste), en fait un film. (dixit le « cinéaste ») .

Pour le résultat décrit plus haut, on aurait aimé que tout cela resta dans son cerveau.

Alors par quel miracle ce sombre navet a-t-il bien pu voir le jour ?
Comme les autres...grâce au système du cinéma français : on exige « l’exception culturelle française » (encore que l’expression soit passée de mode) mais tout cela n’est qu’une histoire de gros sous, d’opportunisme, de CNC truqué et de « potes ».

Bref, rien de plus qu’une industrie... à la française... comme les autres.

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