CA BALANCE... GRAVE !

L'une des meilleeeeeuurees !

Incroyable aujourd’hui la « chronique » de Laurent Gerra.
Un truc de ouf.

Et à l’Olympia, c’était ex-tra-ordinaire, hi-la-rant, i-rré-sis-tible. A pleurer de rire pendant 2h30 non-stop ! (avec Charles Aznavour dans le public, quand même ... !)

A écouter sans modération


Laurent Gerra

Vince...

Vince Mendoza est un compositeur et arrangeur comment dire... unique. Et fantastique.
Je l’avais découvert il y a près de 20 ans avec ses 2 premiers albums Start Here et surtout le sublime Instructions Inside.
Aujourd’hui, je reçois un petit mail amical de sa part. :-)
Good mood!

And check it out:
instructionsinsinde

Arghhhh !

Ah lala lala.
Décidément je n'en sortirai pas mais tant pis. Aujourd'hui je ne peux m'empêcher d'aller voir sur la page Myspace (bientôt fini héhé) de Laurent C. Comme ça, un peu par hasard (:-)).
Je découvre avec stupeur qu'il a concocté un album Tribute à Kenny Kirkland. Rien que ça ! En toute modestie, évidemment.
Mais le pire, c'est que - puisqu'en vérité c'est ma première visite sur son "site" - je découvre les "influences" du bonhomme : une liste longue comme la Bible de musiciens de Jazz, de compositeurs Classiques, de chanteurs de variété etc.
Mais quel éclectisme : "Formidable" ; bientôt invité chez Drucker...
Je supposais que cette liste représentait l'intégralité de ce que Laurent Coq avait écouté mais ce ne sont qu’ "un certain nombre" ("a few") de musiciens parmi tous ceux qui l'ont influencé.
Donc il en manque. Dommage, j'aurais fait un copier&coller pour mettre les mêmes pour moi :-) Puisqu’on est influencé par tout ce qu’on écoute, pardi.

Mais il y a pire encore. Je me rends sur son site Web personnel. J’arrive immédiatement sur son « actualité ».
Je suis surpris par ces (ses) « chroniques newyorkaises 2 ». Une sorte de journal quotidien des allers et venues du déambulatoire Laurent, avec ses « potes » américains (et français), dans des jolis parcs et des rues bouillonnantes, exposant par ailleurs des photos similaires à celles que j’ai prises il y a 15 ans et que d’autres ont publié encore bien avant nous - (tous) (cf. NEW YORK PROCLAIMED par V.S. Pritchett et Evelyn Hofer).
David Berckman en fait partie. Bizarre : à l’époque où j’allais écouter Joel et David (Frahm et Berckman) et où j’avais sympathisé avec Joel - énorme saxophoniste - chez Augie’s, je ne l’y ai jamais vu ! Il devait avoir d’autres « cats » à fouetter.
Mais ce qui m’intrigue le plus, c’est de savoir comment un type aussi ... peut fréquenter autant de monde. Sans doute le syndrome des « amis ». Je m’explique : dans le business (euh pardon, « les affaires »), quand un type mégalomane fait la connaissance de quelqu’un dans un cadre professionnel, il l’appelle ensuite « son ami ».
Voilà qui explique tout. Ouf ! (Enfin en vérité, il y a bien d’autres raisons sur lesquelles je ne m’étendrai pas.)

Bon assez pour aujourd’hui. Il va falloir que je me remette au piano.